Accéssoires Elevage
Capteur de niveau
Refermer
le tiroir
La rétro-ingénierie
Ou Réverse-engineering
Des l'origine, ce système de servo-fenêtre à guillotine comportait un défaut de conception.
Beaucoup trop sensible. De ce fait, aux moindres micro-variations de température, les fenêtres n'arrêtaient pas de s'ouvrir et se fermer.
Il fallait apporter un genre d'hytérésis pour pallier ce problème. Seulement voilà , les contructeurs ne livrent jamais leurs plans techniques (secrêt industriel)
Seule solution, faire de la rétro-ingénierie. C'est à dire, à partir du matériel, remonter aux plans de conceptions pour comprendre le principe de fonctionnement et voir si il y a moyen de le modifier.
Carte électronique de commande
La résistance (flèche rouge) est un rajout personnel pour pallier au problème.
Plan global du boitié servo-moteur
Shéma d'implantation des composants
La resistance R option (dans le rectangle grisé) vient apporter un offset à l'entrée négative du comparateur.
De cette façon, les micros variations en provenance du boitié de régulation programmable à l'intérieur du bâtiment ne sont pas prise en compte.
A propos de régulation
Mes collègues du boulot n'étant pas très futés du bocal malgré mes égosillages à leur expliquer les réglages des différentes régulations (chauffage/ventillation), je trouvais toujours ces boitiers ou autres modèles déreglés.
Par dépit, un jour j'ai pondue et affiché cette notice.
Malheureusement, 10/15 ans plus tard, on en est toujours au même point.
Dur dur de la comprenoire
Un collègue à Riri
< Je vous présente un de collègue de travail.
Avec sa fière allure.
Tête haute, cou long et effilè et étirable, épaules larges et plates, pied unique et plat.
Petit sexe rouge qu'il faut manipuler gentiment pour qu'il s'adapte à mes conditions.
Toujours disponible et serviable.
Ne rouspète jamais.
Ne vous en-sourde pas de médisances sur les autres collègues.
Même pas besoin de lui faire une fiche de paie, il travaille gratos.
Peut même bosser les weekends et jours fériés.
Bref, le collègue salarié modèle que tout le monde aimerait avoir.
Mais la question est:
A quoi peut t'il me venir en aide ?
Les véritables collègues en cair et en os ont toujours une belle excuse pour se défiler quand on à besoin d'eux.
Et bien figurer vous que se support ou servante me sert à la maintenance des ventilateurs et remplace éfficassement une personne.
Idéal pour accrocher ou décrocher les ventilateurs.
Il suffit de la positionner dessous.
Grasse au tube téléscopique, il est aisé de les descendre ou remonter.
Le marche pied, évite de prendre un escabot pour atteindre les vis de fixation ou câbles de connections.
Technique Encochon
Pour la petite histoire
En effet, il y a fort, fort longtemps alors que les truies de mon père étaient en liberté dans les prés, les boucles tombaient souvent lors des bagarres ou d'accrochages dans les buissons, ou à cause de la boue.
Il était impossible de lire les N°.
Alors le Riri a fabriqué ce perce oreille avec une paire de tenaille pour faire des trous dans les oreilles des cochons à des positions bien précise en respectant le code "Encochon"
Le code Encochon
Un protocole d'identification imaginé par Riri et qui avait stupéfait le technicien de la chambre d'agriculture de l'époque.
Un code expliqué en 4 pages
- 4 emplacements sur chaque oreilles
- Utilise le code binaire des ordinateurs
- Possibilité d'identifier 256 truies
- lecture visible de loin, même oreilles sales ou partiellement déchirées
Pieds de cages
Je vais vous conter la petite histoire rocambolesque de ces fameuses fixations de pieds de cages. Il faut dire qu’avec deux pieds par cage et plus 2000 cages environ au moment de leur installation, ça en fait un bon paquet de pénoux à fixer.
Au début, les cages nous furent livrées avec les éléments pour les fixations inter-caillebotis et les éléments pour les fentes dans le caillebotis.
Au bout de quelques mois, avec les vibrations et l’usure par abrasion du béton, les trois-quarts de ces pièces se sont dévissés et une bonne partie des écrous avec leurs pattes en V sont tombés dans la fosse.
Notre première impression fut que ces pièces étaient mal serrées au montage. On racheta ce qui s’était perdu et on revissa le tout très fort. Non seulement ces re-dévissages se reproduisirent, mais le V formé par les pattes se resserrerait. Les truies pouvaient à nouveau soulever les cages. De plus, avec les pièces de forme T, les truies se blessaient les pattes sur la tige filetée qui dépasse.
Nous en fîmes faire d’autres sur mon modèle que j’avais proposé afin d’éliminer le problème de resserrement, mais malheureusement la moitié des pièces reçues étaient mal soudées ou des bavures de soudures empêchaient de les visser correctement. Après les avoir ressoudées, re-filetées et revissées moi-même, le problème recommença. En fait, les pièces étant en inox, elles finissaient par se dévisser.
Un écrou-frein aurait été possible, mais la bague aurait fondu au soudage.
J’ai donc recommencé l’opération avec des pièces de forme de triangle, mais cette fois-ci en acier et non en inox, de façon à ce que l’oxydation les empêchent de se dévisser. Cette fois-ci, moins de dévissage, mais avec les vibrations et abrasement du béton comme dit précédemment, ces petits triangles tournent et la cage peut toujours être soulevée ou déplacée par les truies. Nous en sommes toujours à la case départ pourrait-on dire.
Dans le commerce, nous avons vu qu’il existait des fixations de type boulon avec coin plastique, recouvertes d’une peinture anti-dévissage. Mais vu leur prix, nous n’en avons acheté qu’une dizaine pour tester leur efficacité. Malheureusement, ce n’était pas concluant : en effet, le plastique vert s’écrase et passe au travers des fentes.
Solution perdue me direz-vous ? Et bien non ! Avec ma persévérance, j’ai fini par trouver la solution.
Solution finalement très simple et fort peu coûteuse : un tube, percé de part en part tous les 4 à 5 cm, fendu par le milieu et coupé entre les trous. Un écrou en inox soudé dans l’incurvation et un boulon en acier zingué (important).
Enfin, ce type de fixations ne se dévisse plus, ne tourne plus et abrase moins le béton avec sa large assise.
Et voilà qu’après des années de recherches et de déconvenues, une solution paraissait convenable. Mais à cause des nouvelles lois sur le confort des animaux, et animaux devant être mis en box par groupe, il a fallu presque tout redémolir.Seul, subsiste quelques cages, pour la saillie jusqu'à la confirmation de gestation par échographie.
Tire chaine
À l'époque, l'on utilisait des chaînes de raclage pour évacuer le fumier des bâtiments.
Le problème, c'est qu'elles s’usaient très vite et il fallait les raccourcir.
Certes le moteur entraîneur était monté sur glissière avec une vis pour tendre ces chaines, mais l'on arrivait vite en fin de course.
Seule solution, enlever des maillons.
Donc ce tire-chaine permettait d'un simple geste de tendre la chaîne pour donner du mou, dévisser le maillon rapide, couper deux ou quatre maillons et réajuster le tout.
Muni de sa chaînette avec un crochet pour maintenir la chaîne racleuse en tension en l'accrochant à celle-ci.
Ça, c'était notre tire-fort acheté pour la cause.
Le problème : 25 kg et peu pratique à manier.
Alors que le mien, moins de 3 kg.
Pour exemple : un bâtiment de 55 m, la chaîne faisant une boucle, plus la partie extérieure allant jusqu'au collecteur central, ce sont 120 m de chaîne racleuse environ.
En comptant jusqu’à 1 cm d'usure par maillon jusqu’à rupture, c'est presque jusqu’à 20 m qu'il faillait raccourcir et ceci s'étalant sur quelques années.
Le croquemort
Ou quand Riri fait dans les pompes funèbres
Mais pourquoi donc Riri c'est fabriqué son propre corbillard ?
C'est simple, le sien est:
- Plus étroit
- Plus court
- Plus légé
Que ceux que l'on trouve dans le commerce
Il en a bien été acheté un dans le commerce comme celui ci-dessus pour raison sanitaire dans l' élevage à Riri.
Et bien figurez-vous qu'il aura servi pour sortir qu'une seule et unique truie morte et a fini sa vie sur le tas de ferraille, tant la comparaison à l'utilisation est en faveur de celui de Riri.
Bien sur aujourd'hui il en existe de motorisé mais ils sont réservé aux riches enrichi par leur richesse et ont du mal à se mouvoir dans les couloirs étroits et anguleux de pas mal d'élevages.
Pour les neuneus dur de la comprenoire et qui voyent pas la différence entre le chariot à Riri et celui du commerce, ce petit dessins les mettra sur la voie.
Comment on fait pour tourner dans les couloirs ?
Comprit ?
Bon
Conclusion
Adieu pauvre cochon, paix à son âme
Un appareil à faire des brides
Un dévisse abreuvoir
Spécial pour bouton poussoir d'elevage
Spécialement adapté pour visser/dévisser les boutons poussoirs d'abreuvement de porcs dans les élevages.
Permet d'accéder du couloir avant en passant aux travers des tubes de barrières et évitant ainsi de se faire mordre par un animal ou de se cogner les mains au cas ou la clé échapperait lorsque l'on force pour visser ou dévisser.
Un appareil à faire des ressorts
Où trouver du câble souple et aciéré par exemple ?
Dans les carcasses de vieux pneus.
