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Les réflexions à Riri

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Porte de l'imagination, idées, inventions

Les mathématiques sont t'elles courbe ?

 

À notre échelle macroscopique, lorsque nous confrontons le réel qui nous entoure, il s'ajuste quasi parfaitement à nos mathématiques.
Mais lorsque nous nous éloignons du centre de notre échelle que ce soit vers l'infiniment grand ou l'infiniment petit peu à peu le résultat des prévisions mathématiques s'éloigne du réel observé.

Notre science a eu la sagesse de limiter sa prétention en bornant son domaine de compétence par les unités de Planck ou similaires.
Hors de ces limites, point de validité nous dit la science, mais la nature, elle, existe bien au-delà de ces limites, elle s'en contre-fou.


Exemple :
Si nous regardons du côté de l'infiniment grand, pour la gravitation par exemple, l'effet de la dispersion du résultat des formules par rapport à l'observation se fait sentir déjà au niveau des galaxies car les étoiles de périphérie tournent plus vite que les formules le décrivent. Pire, encore cet effet se fait sentir bien en deçà avec l'effet Pionner.
A l'autre bout, en deçà de la dimension des atomes, notre science se vois obligé de quitter la précision pour rentrer dans le flou et continuer à décrire le réel par les statistiques.

Nos mathématiques subiraient t'elle un effet de courbure rendant sa prédiction d'autant plus fausse qu'elle s'éloigne de notre échelle ?

Prenons pi par exemple, qui justement traite de courbure par excellence.
Pourquoi pi n'est t'il pas un nombre entier ?
Preuve en est que tel quel, les mathématiques ne peuvent décrire le réel. Il nous faudrait une correction.
Ne serait-ce pas justement cette valeur de pi qui serait un genre de constante, un genre de perturbateur négligé dans les formules, qui ferait diverger les calculs sur le réel.
Cet effet pourrait ce comparé à un "attracteur étrange" qui aurait justement pour effet de courber intrinsèquement les mathématiques, les empêchant de rendre compte du réel et ceux d'autant plus que l'on se dirige vers les infinis ou simplement que l'on quitte notre échelle.

Ne serait rendre compte, à moins que ?
A moins que justement on compense cette "courbure" en n'introduisant pi comme facteur correcteur dans nos formules.
Quand je dis pi, ce n'est pas forcément pi en tant que tel, mais cela peut être une de ces dérivés, tangente, sinus, cosinus... ect
Le tout serait de savoir ou placer ce facteur correcteur.
Je serais curieux de savoir ce que cela donne.


Alors à vos calculs pour "décourber" les mathématiques.

trou noir

Réflexion sur les trous noirs

Dans un trou noir, c'est cette force "musculaire sphintoriale" qu'on appelle "gravité" qui domine les autres forces. Donc, à l'intérieur, les lois physiques digestives y sont intestinalement différentes de l'extérieur.


On ne peut que les supposer ou imaginer que par extrapolation de notre monde macroscopique le seul accessible.

Quant à vérifier expérimentalement nos théories "suppositoires", comme elles doivent passer par le filtre coloscopique de ces anus cosmologiques ... Heu, je veux dire le filtre macroscopique pour être vues et interprétées. Donc elles pueront toujours la non-vérité.
Notre univers englouti y restera à jamais caché dans le ventre glouton de ces goinfres matiéro-spatio-temporel pour être expulsé dans une nauséabonde fosse septique située dans un obscur arrière-font de notre univers.
Nos scientifiques savent t'il simplement que ces flatulences dites de "Hawking " n'est autre que ce qu'il nomment par pudeur " la matière noire"
Et pourtant, ils y en cherchent désespérément à s'y vautrer comme de vaillants coprophages en quête d'une nourriture intellectuelle.

Le CMB

(Cosmic Microwave Background)

Le fond diffus cosmologique proposé en 1948 par George Gamow et ses collègues, dans le cadre du modèle du Big Bang fut observé pour la première fois par Arno Penzias et Robert Wilson en 1965. La température moyenne de ce rayonnement quasi-isotrope est de 2,7 kelvins. Cependant, de minuscules fluctuations de températures, de l'ordre 1 pour 100 000, ont été mises en évidence par les satellites COBE, WMAP, puis Planck.

Il est dit que ce rayonnement serait la première lumière émise 380 000 ans après le Big Bang.
Soit


Mais ne pourrions-nous pas avoir une autre interprétation de ce rayonnement avec ces minuscules fluctuations ?
Nous savons que même le vide sidéral est rempli d'atomes. Un atome/m3 pour les régions les moins dense.


Donc :
Un simple effet Doppler dû au mouvement de l'observateur par rapport aux différentes régions de l'espace qu'il observe pourrait justifier ce phénomène.
Je m'explique :
Prenons un observateur situé sur l'équateur, la terre tournant sur elle-même, soit un tour en 24 heures, cet observateur se déplace en moyenne à 1670 km/h par rapport au centre de la terre mais aussi face à l'univers.


Donc s'il observe le ciel, il y aura un décalage vers le bleu dans le sens de son déplacement et un décalage vers le rouge dans le sens opposé.
Mais la terre tourne aussi autour du soleil en moyenne à 107 218,8 km/h. Donc cet observateur décrit une sorte de spirale ou ressort bouclé sur lui-même par rapport à un espace qui serait un repère fixe.
Le système solaire, lui aussi est en mouvement par rapport aux étoiles voisines. Le groupe d'étoiles aussi par rapport à la galaxie qui elle-même se meut et ainsi de suite. 
Jusqu'aux confins de notre univers observable, tout se meut l'un par rapport à l'autre.
Donc nous devons tenir compte de cette multitude de compositions de mouvements qui rechifte plus ou moins les portions du ciel observés.
Même si on soustrait toutes les galaxies, astres ou nuages qui polluent l'observation, restent des atomes et particules libres.
Donc selon la relation de l'onde thermique de De Broglie, on pourrait en déduire ce mouvement P

 

 


Nous pourrions donc comparer nos chers satellites à de simples capteurs de longueur d'onde de ce résiduel.
Ces micros écarts de température ne seraient que la représentation actuelle du mouvement relatif entre deux zones : celle de l'observateur et celle de l'observé.

CMB

L'ordinateur du futur

La prochaine évolution ne sera pas quantique mais photonique.


Les premières ébauches de ces ordinateurs photoniques à base de Ti liNbO3 dopé à l'erbium pour l’émission de la lumière à 1.55 µm pulvériseront nos ordinateurs contemporains.


Fini les microprocesseurs, cartes graphiques et mémoires.

Le cœur de l'ordinateur sera un cube de cristal maillé de façon idoine par modules. (ensemble de maille élémentaires)
Une maille de cristaux photoniques est une structure diélectrique périodique à l'échelle de la longueur d'onde optique, et à fort contraste d'indice de réfraction. Elles réalisent une forme de miroir, par la périodicité des motifs diélectriques. Ceux-ci réfléchissent interférentiellement les ondes de longueur d'onde située dans la BIP. 
Sur les faces du cube seront collé des capteurs de photons, interfaces pour communiquer avec les périphériques externes.
Ces périphériques étant les claviers, écrans normaux ou holographiques, micros, haut-parleurs, supports externes de toutes natures, caméras, fibres optiques ou filaires provenant du réseau....ect
Chaque maille pouvant agir selon trois modes, c'est-à-dire, se comporter soit en simple conducteur pour amener les photons d'un point A à un point B , soit en calculateur, c'est-à-dire en porte logique comme le font actuellement un groupe de transistors, soit en mémoire pour stocker l'information, c'est à dire que les photons peuvent se voir interdire certaines bandes d'énergie (bande interdite photonique BIP), être contraint à d'autres énergies, à ralentir brusquement, voire à s'immobiliser.
La modification de mode d'une cellule ou maille se fait par l'intensité d'irradiation photonique apportée par les mailles adjacentes en mode transport et en jouant sur le seuil d'ablation de la maille à traiter. 
L'architecture interne de ce réseau dans le cristal ne sera plus gravé par des fondeurs, mais implémentée par flashage comme on le fait pour les BIOS actuel.
Donc plus besoin de changer un processeur ou une carte graphique pour rendre l'ordinateur plus puissant, il suffira de télécharger la nouvelle configuration pour que chaque maille ou partie se voit attribuer un nouveau mode.

Bien sûr, il faut alimenter ce cube en photons. Sachant que les photons captés par les interfaces sortantes collées sur les faces absorberont ceci pour les transformer en électricité utilisable par les périphériques (effet photo-électrique)
Donc en plus des interfaces entrantes qui apportent des photons au système, genre ce que font, disques durs et autres supports de données. Une ou plusieurs diodes laser seront collées à la surface, injectant ainsi les photons déficitaires, comparable au quartz cadençant l'introducteur d'électrons de nos ordinateurs actuels.


Mais plus encore au niveau des processus internes.


Par exemple, si on a besoin momentanément d'une grande puissance de calcul, on réaffecte temporairement des mailles mémoires inutilisées pour les passer en mode calculateur, ainsi que certaines mailles en mode conducteur afin d'amener et re-dispatcher l'information.
Plusieurs unités de calcul peuvent ainsi être virtualiser en parallèle. Inversement, si on a besoin de beaucoup de mémoire une partie des mailles seront réaffectées en ce sens. En quelque sorte, une architecture adaptative.
L'architecture "neuronale" de ce cube de cristal ne seras plus figée, mais dynamique en fonction des besoins.
La consommation électrique sera minime puisque ce ne sont plus que des photons et non des électrons qui circuleront dans ce réseau et à la vitesse de la lumière dans le cristal.
On ne parlera plus de méga, giga ou téra octets pour désigner la puissance, mais en péta, exa ou même zéta mailles. Les mailles étant structurées en trois dimensions dans le cristal, ce qui offre une architecture en  multicouche par excellence.
Quant à la bande passante, elle ne sera limitée que par l'ensemble des modules formé de maille, le tout travaillant en parallèle.

ordi futur
Imcompletude

L'incomplétude

L'incomplétude à la Gödel n'est pas fondée dans la réalité de notre univers.

 

Si nous admettons que la logique soit logique, l'univers dans lequel nous vivons se réalise en obéissant à des équations qui sont calculables, entières et finies en nombre d'itérations.

Si une loi physique ne peut pas être bouclé par une équation mathématique, elle ne peut pas s'appliquer à notre monde réel, car elle n'a pas d'aboutissement.
 

J'en conclu que notre univers ne peut être contenue qu'uniquement dans la complétude.

Comme notre univers existe, il est obligatoirement équationnable.


Donc, toutes incomplétudes  sont purement spéculatives et imaginaires.

 

De plus, la nature a pour principe la moindre action pour évoluer, il doit en être de même pour les lois qui la gouverne. Il en découle que les lois doivent être simples, pures et calculables ainsi que leur formalisation.

Mieux encore, le continu n'est pas calculable. Il en résulte que le contenu de l'univers doit être par essence discrétisable, pour obéir à l'entièreté et à la finitude du nombre d'itération des équations qui le décrive.

 

Conclusion:

Ce n'est que notre ignorance qui nous empêche de décrire notre réalité.

Vide

Le vide de vide

La matière que nous connaissons se compose d'atomes, eux même composé de particules : neutrons, protons, électrons et tout un bestiaire qui permet les interactions entre-elles.
Ces particules sont elles-mêmes composées de sous-entités que l'on appelle les quarks, qui eux-mêmes peuvent être composé de sous-sous entités que l'on pourrait estimer comme fondamentales ou primaires. C'est-à-dire indivisible, sous peine de ne plus exister en tant que telle. À l'image d'une quantité d'eau que vous pouvez diviser et re-diviser jusqu'à atteindre la dernière molécule. Une division de plus et s'en est fini de l'eau. La notion d'eau disparaît tout bonnement, ainsi que toutes les interactions qu'elle peut avoir avec son environnement.

Nous appellerons cette sous-entité qui compose les quarks et autres particules, les "Espaçons", qui feront l'objet d'une autre étude et publication. En dessous ces "espaçons", la notion même de matière disparaît, de même que toutes interactions à l'image de l'eau.

 

Le trou noir est une concentration de matière, tel que la gravitation engendrée par cette matière crée un horizon des événements, dit aussi horizon de Schwarzschild. Quand il est atteint par la matière, celle-ci ne peut s'en échapper, ni ses interactions, c'est-à-dire les ondes électromagnétiques.

On pourrait envisager cet horizon comme le dernier mur infranchissable, composé de ces fameux "Espaçons" jointifs l'un à l'autre. Aucun espace de vide ne pouvant s'y inserrer. Seule la matière ayant perdu son espace vide peut s'y immiscer, car de même nature et densité. Il en résulte une augmentation de la surface de ce mur. Cet horizon ou mur étant sphérique, c'est la taille de cette bulle qui croie.
Selon la théorie actuelle, toutes particules ou ondes qui tenteraient de s'échapper de ce mur en est immédiatement retenue, mais ça, c'est pour la partie extérieure. 


Quand est-il de la face intérieure de ce mur, celle de l'intérieur de la bulle ?
Par principe de symétrie, il y a aucune raison qu'il n'en soit pas de même.
Donc, toutes particules ou ondes qui tenteraient de s'échapper vers l'intérieur en seraient immédiatement retenue. Si nous appliquons cette hypothèse, rien ne peut donc entrer dans cette bulle.
Qu'elle pourrait être l'épaisseur de ce mur ?
Pourquoi pas la longueur de Planck, histoire de faire plaisir à nos scientifiques.
Que peut-il donc y avoir dans cette bulle ?
En tout cas, ni matière, ni onde, ni le même vide ou du moins comparable à celui de l'extérieur, car outres les objets qu'il contient, il est lui-même agité par des fluctuations quantiques et contient donc intrinsèquement une certaine quantité d'énergie.
Une fois que l'on a tout ôté, il en résulte que l'intérieur d'un trou noir n'est qu'un espace pur exempt de tout contenu. De l'énergie, des champs, même une singularité ne peuvent y habiter. Un quasi-néant qui a qu'une seule propriété : celle d'exister et que l'on peut caractériser que par l'espace perdu vu de l'extérieur.


C'est du vide de vide.

Temps

Le Temps

Moi ce qui m'énerve, c'est que l'on dit que nous baignons dans un univers à 4 dimensions : 3 d'espace et 1 de temps. 
Les 3 d'espaces, on les intègre bien dans notre esprit, mais celle du temps vient nous embrouiller.
Pourquoi ne pas garder que nos 3 dimensions spatiales et considérer le temps non plus comme une dimension, mais comme l'opérateur qui agit sur les 3 autres
Donc le temps est un opérateur.
Après tout, c'est bien à cause du temps que notre univers évolue ou se transforme.
L'espace subit, le temps agit.
Dans les mathématiques, les chiffres et nombres sont des dimensions et c'est bien les opérateurs (+,-,/,X...Etc) qui viennent faire évoluer ces dimensions

intrication

Intrication quantique versus matière noire

On nous dit que des particules intriquées ont des états ou caractéristiques dépendantes l'une de l'autre et se comportent comme si elles n'en faisaient qu'une.
Donc, dans ces caractéristiques pourquoi ne pas y introduire la notion de mouvement ou translation.

Deux particules couplées, l'une à l'intérieur d'une galaxie, l'autre en bordure, ce couplage "cinétique" pourrait modifier le moment angulaire de chacune d'elles par rapport à l'axe de rotation galactique et tendant à égaliser cette rotation sur le rayon de cette galaxie.

Si tel était le cas, exit la matière noire pour expliquer l'excès de rotation des étoiles en périphérie de galaxie.
De plus, plus on s'éloigne du centre galactique plus la densité de matière est faible ainsi que les interactions. De ce fait, le temps avant la décohérence ne peut y être que plus long.

emergence

Théorie de l'émergence

Quand la double action crée l'émergence.

Prenons pour point de départ une droite.
Cette droite possède deux propriétés principales.
- une direction : nord-sud par exemple.
- une longueur : infini dans notre cas.

Première action :

 

Traçons un point A sur cette droite.
- La direction de chaque segment reste la même.
- La longueur de chaque segment sera toujours infinie.

Deuxième action : réitération de la première.


Traçons un deuxième point B sur cette droite.
Que voyons-nous ?
Deux segments A ∞ et B ∞
garderont les propriétés originelles, mais le troisième A B, celui entre les deux points, émergera une nouvelle propriété :
- Celle de la "finitude".
La longueur du segment central ne peut être que fini.

Conclusion :


Le phénomène d'émergence naît de deux actions répétées similaire.
Pour les croyants, il en résulte que le Bon Dieu a du s'y prendre à deux fois pour faire émerger l'univers du néant.

Physique définitions 

Particule:        ensemble de propriétés géo localisées

​

Masse:           difficulté au changement de géo localisation


Charge:          potentiel de changement de géo localisation


Magnétisme:  effet environnemental du changement de géo localisation


Spin:             possibilité de direction au changement de géo localisation

​

Temps:          opérateur modifiant ces propriétés


Espace:          support ou s'expriment ces propriétés


Néant:           absence de propriété


Onde:            déplacement d'une propriété

particule.jpg
physique definition
formule

L'incomplétude des formules

A la recherche d'une formule magique que je n'ai pas encore trouvé, je suis agacé de l'incomplétude de lettres et symboles des formules qui surgissent de nulle part et qui ne sont pas expliqué.
Un exemple parmi tant d'autre que j'ai piqué sur Wikipédia

Réflexions

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